L’école de finance et de trading Xeilos Trading Academy propose un modèle inédit avec une formation certifiante reconnue par l’Etat, et la possibilité pour les diplômés de lancer une activité de trader financée par des sociétés partenaires. Une formation qui est « une passerelle concrète vers le métier de trader », comme nous l’explique Grégory Cacace, le président et fondateur de Xeilos Trading Academy.
Grégory Cacace Xeilos Trading Academy : une formation concrète et accessible au trading
Si le métier de trader est attrayant pour de nombreux profils, force est de constater qu’il s’agit d’une profession intimidante et souvent considérée comme inaccessible. C’est cette image « élitiste » que Grégory Cacace et Xeilos Trading Academy souhaitent casser pour « démocratiser » le métier de trader et le rendre accessible au plus grand nombre.
« Notre modèle, c’est de rendre accessible à tous un métier que les gens ne pensent accessible qu’à une élite. Nous voulons rendre les choses simples et compréhensibles pour vulgariser la finance » quel que soit le parcours des apprenants, précise-t-il. Le profil des candidats à la formation est d’ailleurs varié, allant des salariés en reconversion aux anciens militaires, en passant par les étudiants passionnés de trading ou les jeunes issus des quartiers difficiles.
« Nous voulons toucher tout le monde avec comme seul objectif d’arriver à un emploi au bout. Notre priorité c’est l’efficacité pour que nos étudiants réussissent et donc, nous voulons rendre la finance digeste et accessible », ajoute Grégory Cacace. Un objectif qui se matérialise pour les diplômés par la garantie d’une mise à disposition de fonds par une société partenaire pour lancer une activité de trading.
Prop Firms : se lancer dans le trading sans miser ses fonds propres
A la fin de la formation, les diplômés de Xeilos Trading Academy se voient proposer de lancer leur propre activité de trading avec des fonds mis à disposition par des sociétés partenaires, appelées Prop Firms, qui allouent des capitaux à des indépendants en contrepartie du versement d’une prime visant à couvrir les éventuelles pertes.
En fonction du montant des primes versées, les diplômés de Xeilos Trading Academy disposent de fonds allant de 50'000 à 1 million d’euros pour démarrer leur activité. La totalité des bénéfices potentiels revient directement aux traders, les prop firms se finançant par les primes de couverture. Une solution qui permet de démocratiser le métier de trading, mais qui n’est pas un gage de succès, comme le rappelle Grégory Cacace.
« En moyenne, pas plus de 1% des personnes qui s’essayent au trading parviennent à générer suffisamment de revenus pour en faire leur métier et en vivre. Parmi les diplômés de Xeilos Trading Academy, et grâce à nos partenariats, ce niveau monte à 30% qui réussissent à devenir traders », insiste-t-il pour souligner à la fois le succès de son école, et le grand nombre de candidats qui ne parviennent pas à leur fin.
Selon lui, les 70% qui vont échouer « vont perdre l’argent alloué par la prop firm, mais ils n’auront pas perdu leur épargne personnelle ». Une différence capitale qui contribue à démocratiser le métier de trader et permet à différents profils de s’orienter vers le trading sans risques personnels.
Xeilos Trading Academy : une formation certifiante reconnue par l’Etat
Basée à Nice, l’école Xeilos Trading Academy est un des seuls instituts de formation aux métiers du trading certifié par l’Etat et éligible au Compte Personnel de Formation (CPF). L’équipe pédagogique de l’école est constituée d’anciens traders, et les apprenants travaillent en condition réelle avec une véritable salle de marché disposant en temps réel de l’ensemble des outils et logiciels des traders.
Les formations vont de 3 jours à 5 semaines en présentiel, à distance ou en format hybride. « Nous avons une approche académique et universitaire avec une équipe de plusieurs professeurs et, en plus de la formation, nous proposons un job à la fin. Notre formation est vraiment une passerelle concrère vers le métier de trader », conclut Grégory Cacace.